BonnerWrchenbrart.
Ne. 20.
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Sonntag den'r März 1840.
Dieses Blatt erscheint wöchenttich dreimal, Sonntags, Dienstags und Freitags, und kostet halbjährlich 1 Thlr. Dr. Er
(Traggeld 3 Sgr. 6 Pf.— Einrückungs=Gebühren per Zeile 1 Sar.)
Bekanntmachung.
Wegen der eingetretenen ungünstigen kalten Wit
terung, wodurch die Arbeiten im Freien erschwert sind, wird die anberaumte Frist zum Abraupen der Bäume, Hecken und Gesträuche bis einschließlich den 18ten dieses Monats verlängert.
Nach Ablauf dieser Frist wird eine Lokalbesichtigung stattfinden und gehofft, daß durch fleißiges Arbeiten keine Säumige sich herausstellen werden.
Bonn, den 5. März 1840.
Königl. Oberbürgermeister=Amt,
Angelbis, Beigeordneter.
De la religion Timage la plus pure.
Bon père, époux heureux, il trouve le bonheur Au sein de ses travaux nait bientöt sa grandeur.
Mais, du succes brillant de son Guillaume Tell 'empéche de jouir la Parquc impitoyable; Maligne, elle se glisse et— porte un coup mortel. Inest plus, le grand homme, ah! quel sort deplorable! Des cris et des soupirs parcourent Tunivers.— Suivons son souvenir de nos regrets amers!
Angekommene Fremden.
Den 6. März: Graf Molke, dänischer Beamter a. Coppenhagen.— Pracht, Inspector a. Büren.— Rowland, Fadrikant a. London.— Wait a. Mainz, Moskepy a. Fahr, Graf a. Paris, Finck a. Düren, Löwenheim a Berlin, Klenne a. Wesel, Flörsheim a. Frankfurt, Greff a. Cöln, Kflte.
Den.: Graf v. Krurr, cieur. a. Düsseldorf.— Engler,
Eschweiler Egegt“ M# F.
.: Graf v. Keller, Lient= Düsseldorf.— Engler,
Gutsbesitzer a. Eschweier.— Jacovi, Arzt a. Eupen.— Jung, Candidat d. Phil. a. Wesel.— Friese a. Elberfeld,
Burg a. Trier Juillard a. Nülheim. Husgen= Trarback
Jung, Candidat d. Phil. a. Wesel.— Friese a. Elberfeld, Burg a. Trier, Juluaro a. Mütheim, Hudgen a. Trarbach, Österwald a. Iserkohn, Leers a. Cöln, Kflte.
Fin de Schiller.
Des Muses fils chéri,'honneur des Allemands, Puissant appui de Part!— Le monde tel vénère Kotre immortel Schiller dans ses célestes chants. Ce nom célébre et grand nous transporte àla sphere Qu la clarté, la paix, la vérité,’amour Regnent en harmonie au plus heureux séjour.
A ses derniers moments quelle fut sa candeur!—
Se sentant approcher de léternel asile,
Onand on Vinterrogeait, il dit avec deuceur: „Rassurez-vous, amis!“ et, toujours plus tranquille, Dit:„Je vous prie encor, que nul convoi pompeux „Ne condaise ma cendre a ces paisibles heux!“
Femmes, enfants, vieillards regardent attendris Le corps inanimé; versent encor des larmes, Racontent ses travaux, ses plus nobles écrits,
Sa vic ou la vertu répandait tous ses charmes:
Et tous le benissaicnt, tous, avec des sanglots,
De ses derniers discours répétaient quelques mots.
Amis et jeunes gens, autour de son cercueil, Päles, silencicux, In rendent leurs hommages,
La mit est tres-obscure, i régne un profond deuil; Mais, tout à coup, au ciel à travers des nuages
La lune, en éclairant son lugubre chemin,
Quand son esprit ardent lançait partout des traits Pour chasser loin le doute et les erreurs coupables, Son coeur, sensible à tout,'a pu trouver la paix Ni de la Vérité les sources admirables;
Mais, sans cesse agité, hasardant et constant, Fidele à la Raison il penétre en avant.
Parait quand le reçoit la terre dans son sein.
Th. Thomas.
Dans sa course rapide il’inspire à la voix ’un étre plus sublime, en peignant la nature; Montre de la vertu les éternelles lois,
Anzeigen.
Ferdinand Ries
Gyps=Büste, 14 Fuß
Preis: Thlr. 1 Sgr. 15,
habe ich erhalten und sehe geneigten Aufträgen entgegen.
J. M. Danst.
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