Nee 21 Intelligenz=Comtoir auf dem Prinzipalmarkt am Drubbel No. I. Napoléon, Empereur des français, Roi d’ltalie er Protecteur de la Confédération du Rhin. Notre Conseil d’Etat entendu. Nous avons décrèré er décrétons ce qui suir. Au Palais des Tuileries le 6. Avril 1809. TTTREPREMIER. Des francois qui auront porté les armes coutre la Prance. Art. 1. Tous les françois qui, ayant porté les armes contre nous depuis le ter seprembre 1804, ou qui les portant a l’avenir, auront encourn la peine de mort; conformément à l’article; de la section première du titre premier de la seconde partie du code pénal du 6. octobre 179r, seront justiciables des cours spéciales. Pourront néanmoins ceux qui seront pris les armes a la main, étre traduits a des commissions militaires, si le commandant de nos troupes le juge convenable. 2. Seront considérés comme ayant porté les armes contre nous, tous ceux qui auront servi dans les armees d’une nation qui éroit en guerre contre la France; ceux qui seront pris sur les frontières, ou en pays ennemi, porteurs de conges de commandans militaires ennemis; ceux qui se trouvant au service militaire d'une purssance etrangère, nie T’ont pas quitté, ou ne le quitteront pas pour rentrer en France, aux premières hostilités survenues entre la France er la puissance qu'ils ont servie, ou quils servent; ceux enfin qui, ayanr pris du service militaire a l’étranger, rappelés en France par un décrer publié dans les förmes prescrites pour la publication des lois, ne rentreront pas, conformément audit décret, dans le cas routefois oil, deputs la publication, la guerre auroit éclaté entre les deux puissances. Br * Les dispositions des deux articles précédens sonr applicables meme à ceux qus auroient obrenu des lettres de naturalisation d’un gouvernement étranger. 4. Nos procureurs généraux des cours spéciales des départemens dans lesquels *““- lee françois désignés aux articles précédens, scront tenus, sur la déwoneiation gai keur en Fergz haite, meime Kofick, de Grenter egnrie eux aneptugte er de requérir qu’il soit informé des faits qui y seront portes. II sera proc l’instruction er au jugement, suivant les dispositions des lois criminelles er celles du présent décret. r. Notre Procureur-général de la cour spéciale de Paris sera pareillement tenu de rendre plainte sur la dénonciation a lui faite, ou meme d'onice, contie le f. cois qui, n’ayant pas de domicile en France depuis dix aus, seroient daus cas prevus par les trois preiniers articles du présent décret. TITRE II. Du devoir des françois qui sont cher une nation étrangere; lorsque la guerre éclate entre la Prance er cette nattonl. §. ler.— Des françois au service militaire cher Pétranger. 6. Les frauçois qui sont au service militaire d’une puissance étrangère avec ou surorisation, er gui niauroiene Pas Pofte, HeE. Grcgz Seg gel. atre erte pulisane er sa Frane, de rentter en France. er a), Jugtiker. de leur retour dans le delai de trois mois, à ccmpter du jour des premieres hostilirés. 7. IIs sont tenus de se présenter devant nos procureurs impériaux des tribunaux de oremière instance du lieu de leur domieile, dans le delai fixe par Partiele prece. denr, er d’y requérir acte de leur presence, lequel acte sera transcrit au greffe. 8. Ceux Paris poury requertr acre de leur présence daus le delai gui sera prescrir, lequel acte sera transcrit au grette. aura comparu. Dacte de presence sera transerit au greffe. ) ve zigztoste, K fesfer de kaite ordoner sa wlsise de rone le biensmender er immenk“ gulls possdeut, ainsi gue de ceux gui pourroient leur advenur dans la 5-5 suite. Le jugemenr qui interviendra leur ordonnera pareillement de comparoitre dans le mois devant le procureur général de la cour spéciale, 1r. Nos procureurs impérfaux transmettront de suite à notre procureur- général de la cour spéciale de leur ressort, les noms, qualités et demeures de ceux qui, domiciliés dans leur arrondissement, ne se seront pas présentes pour requérir acte de leur presence; ils Joindronr copie du jugeinent qui aura ordonné le sequestre avec les proces-verbaux qui en constateront Tapposition. 12. Le mois expiré sans que f’individu se soit presente devant nos procureurs genéraux, ceux-ci requerront acre de la plainte gur’ils rendront contre ceux qui seront dénoncés comme n’ayant pas obéi à Tarticle 6. du présent décret, er au jugement rendu en exécution de Particie 9. ei-dessus; ils requerront qu’il soit informé contre eux, comme prevenus du crime d’avoir porte les armes contre la France. 13. Notre cour donnera acte de sa plainte au procureur-général, et commettra un de ses meinbres pour procéder a l’audition des temoins er a linstruction entière du proces. 14. Le juge d’instruction réunira coutes les pieces qui pourront servir à conviction, telles que lettres, contröles des régimens, érats militaires des puissances ennemies er autres de cette nature qui lui seront remis, soit par nos ministres, soit par tous aufres; II entendra en déposition les déserreurs etrangers, les soldats fraucois er tous autres qui pourroient lui etre indiqués par lotre procureur- general, ou qu’il croiroit devoir entendre d’office. 1h. Lorsque l’instruction sera complette, elle sera communiquée a notre procureurgénéral, qui dressera, s’ily a lieu, Tacte d’accusation; dans le cas oil il sera déclaré qu’il y a lien a accusation, notre cour décernera une ordonnance de prise-decorps Contre T’accusé. 16. D’acte d’accusation et Pordonance de prise-de-corps seront notihés à Taccusé à son dernier domicile connu; il en sera fait une annonce dans le journal le Moniteur, er dans ceux de l’arrondissement et du départemenr, s’il y en a. 17. Si l’accusé ne se présente pas dans les dix jours de la notihcation mentionnee en l’article précédent, le président de notre cour rendra une ordomance portant que si, dans un nouveau délai de dix jours, Taccuse ne se constitue pas; il est déclaré rebelle a l’Empereur, et qu’il sera procédé contre lui par contumace. 18. Cette ordonnance sera publiée dans les formes prescrites; er aprés T’expiration du nouveau délai de dix jours, il sera procédé au jugement de la contumace; le rout conformément aux dispositions des lois sur linstruction criminelle. 1o. S’il résalte de l’instruction er de l’examen que l’accusé n’est pas rentrè en France dans le délai prescrit, et qu’il etoit au service militaire de Tennemi à Tepo*) 5r que ou les hostilités ont éclaté, nos cours appliqueront les dispositions de l’article 3, section fere, titre fer de la seconde partie du code pénal, du 6. octobre 1701, er prononceront la contiscation des biens du condamné. §. II. Des françois qui occnpent des emplois et ecercent des fonctions politiques; acministratives et fudictaires chez létranger. Art. 20. Les dispositions de l’article ci-dessus sont applicables aux francois qui ont des fonctions politiques, administratives ou judiciaires chez l’étranger; ils sonr tenus de rentrer en France dans les délais et de justifier de leur rentree dans les formes prescrites par les articles 7, 8 et 9. 21. Faute d’avoir satisfair aux dispositions de ces articles, ils seront poursuivis conformément à ce qui est préscrit par les articles ro et suivans, jusques er compris l’article 18. 22. S’il résulte de l’instruction et de l’examen, que les accuses occupoient des emplois ou exercoient des fonctions politiques, administratives ou judiciaires a l’époque des preinières hostilités, er s#ils n’ont pas justitié de leur rerour en France, nos cours les déclareront morts civilement et prononceront contre eux la confiscation de leurs biens. TITRE III. Des françois rappelés dun pays étranger anec lequel la France nest pas eit gilerre. §. ler. Des françois au service militaire de Létranger. 2z. Tous les françois au service militaire de l’étranger sont tenus de rentrer en France, lorsqu’ils sonr rappelés par un décrer publié dans les formes préscrires pour la promulgation des lois. 24, IIs sont tenus dans les délais tixés par le décret de rappel, de justiffer de leur retour, ainsi quil est dit ci-dessus articles 7, 8 et 9. 2;. Faute par eux d’avoir justifié de leur retour, ils seront poursuivis, ainsi qu’il est dit aux articles 1o, II, 12; 13, 14; I5, 16, 17 er 18. 26. S’il résulte de l’instruction que l’accusé étoit au service militaire de la puissance etrangere désignée dans le décret de rappel et qu'il n’y a pas obéi, il sera dans le cas oul la guerre auroit éclaté entre la France er cette puissance, puni conformément a l’article z, section ire, titre ter, deuxième partie du code pénal du 6 ocrobre 1791, et ses biens seront contisqués. Si la guerre n’a pas éclaté entre les deux puissances; laccusé sera déclaré mort civilement et ses biens seront confsqués. II. Des francois qui erercent des fonctions politiques; administratives on judiciaires&a Uétranger. 27. Les dispositions de l’article 6 du présent décrer sonr applicables aux francois qui exercent des fonctions politiques, administratives ou judiciaires chez l’étranger; ils sonr tenns de rentrer en France er de justihier de leur getour, conformément aux dispositions des articles 7, 8 et 9 du presenr décret, sous peine d’étre poursuiris et mis en accusation, ainsi qu’il est expliqué aux articles ro et suivans. 28. S’il résulte de l’instruction que les accuses n’ont pas obéi au décret de rappel, er qur’ils exercent des emplois ou fonctions politiques, administratives ou judiciaires dans le pays duquel ils sont rappelés, nos cours les déclareront morts civilement en France, et prononceront la conhiscation de tous leurs biens, meubles er immeubles. S. III. Des françois qui nont ni serviee militaire; ui fonctions politiques; ackministratives on judictaires ches Létranger. Les dispositions des deux articles précédens ne seront applicables aux françois qui n’ont pas de service militaire chez l’étranger, ou qui n’y exercent aucune fonction politique, administrative ou judiciaire, qu’autant qu’ils auront été nominativement rappelés par un décret publié dans la forme prescrite pour la promulgation des lois. Dans ce cas, ils sont tenus de se présenter dans les délais et dans la forme ci-dessus prescrits, sous les peines exprimées en P’article 16. zo. Les francois mentionnés en Particle précédent er en l’article 28 ci-dessus, seront admis a se représenter et a purger leur contumace dans les cing ans; lesquels ne commenceront a courir que du jour de la publication de la paix; ils seront admis a proposer leurs excuses: si elles sont qugées valables, ils seront réintégrés dans leurs droits civils et leurs biens leur seront restitués. TITRE IV. Disposttions transitoires relatives ann pags réumis ala France. z1. Les dispositions de Tarticle fer ne sont applicables aux habitans des pays réunis a la France depuis le rer septembre 1804, que du jour de leur réunion. 22. Nos ministres sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de Texécution du present décret, qui sera inséré au bulletin des lois. II. Ebiktalladungen. 1. Der Küster Kock hat als Ankäufer des sub No. car. 48 der Liebefrauen Laischaft in hiesiger Stadt belegenen, vormals dem Weisgärber Wilhem Raters zuständig gewisenen Wohnhauses, ein öffentliches Aufgebot desselben, zur Erhaltung einer Präclusion gegen unbekannte Realprätendenten nachgesucht; es werden demnach alle diejenigen, welche an obbesagtem Hause aus irgend einem Rechtsgrunde dingliche Ansprüche zu haben vermeinen, hierdurch vorgeladen, solche binnen 3 Monaten, und längstens in dem coram deputato Stadtrichter Busch auf den 29. Mai, Vormittags 11 Uhr, an gewöhnlicher Gerichtestelle angesetzten Termin anzumelden und geBührend nachzuweisen, widrigenfalls die Ausbleibenden mir ihren etwaigen Realansprüchen präcludirt, und ihnen deshalb ein ewie ges Stillschweigen auferlegt werden wird. Unbekannte oder persönlich zu erscheinen Verhinderte können sich an die hier fungirenden Advokaten, z B. die Licentiaten Brockhausen, Eisenle, Lohkampf, Doctor Noortmyck, Syndicus Gräver, Richter Honthumb rc. wenden, und selbige mit Information und Vollmacht versehen. Münster den 15. Febr. 1800. Kaiserl. Königl, Stadtgericht, v. Bernuth. Wattendorff. 2. Alle und jede Gläubiger, welche einigen Anspruch oder Forderung an den Zeller Rohling in der Bauerschaft Walltrup Kirchspiels Altenberge, haben oder zu haben vermeinen, werden hierdurch zum tten, aten, zten und letztenmal edictaliter verabladet, um innerhalb 6 Wochen, wovon ihnen 14 Tage für den rten, 1# Tage für den aten und 14 Tage für den zten und letzten Termin peremptorie anbestimmt werden, ihre an den gemeldten Zeller Rohling br8 und besselben sämmtlicher Haab und Güter habende Ansprüche und Forderungen beim hiesigen Landgerichte unter Sirafe ewigen Stillschweigens gehörig zu proponiren und zu justifiziren. Zugleich werden gemeldte Bisubiger hierdurch vorgeladen, um am Montag den##. Junit l. J., Vormittags 10 Uhr, an des Herrn Landrichters Behausung dahier entweder persönlich oder durch genugsam Bevollmächtigte bei Strafe Aberkennung ihrer Forderungen zu erscheinen, sodann zu sehen und zu hören, daß zwischen ihnen und den gemeldeten Convocanten des„Zellers. Rohling ein gütlicher Vergleich versucht werden soll. Sign. Rheine den 1o. April 1899. Ad dtm. dni. judicis. F. A. Nierman, Grschbr. 2. Der Tuchhändler Herman Joseph Zumfelde hieselbst hat als Cessionarius des Hauptmanns Miquel, in Betreff einer von der verstorbenen Doctorinn Boemer gebohrnen Osterhoff auf diesen vererbten Forderung von Einhundert fünfzig Reichsthaler Spezies, welche auf dem Kirchspiele Neuenberge als Schuldner haftet, und von diesem jährlich termino den 12. Februar mit 4 1/2 Precent verzinset werden muß, aus dem Grunde, weil das über diese Forderung vor mehrern Jahren ausgestellte SchuldDoeument abhanden gekommen, ein öffentliches Aufgeboch desselben zur Deckung gegen etwaige sonstige an besagtem SchuldDocument und der daraus herrührenden Forderung Anspruch habende noch unbekann. te Prätendenten angetragen. Es werden demnach Alle und Jede, welche an obbemeldrem Schuld= Document und der daraus originirenden Capitalforderung aus irgend einem Grunde, sey es als Eigenthümer, Cessionarii, Pfand= oder sonAnsprüche zu haben vermeinen, hierdurch aufgefordert, solche 9· 8 binnen drey Monaten, und längstens in dem Diejenigen Realprätendenten, denen es coram depurato Stadtrichter Overhage auf an Bekanntschaft fehlen, oder welche am dan 2: Junii, Morgens 11 Uhr, angee persönlichen Erscheinen verhindert seyn möchund gehborgs du dr, Ir I.Z.l2,24 8.5s2 dgen de Her. bescheinigen; unter der Warnung, daß ih vertreten lassen; wes Endes ihnen die Heransterlsaf en. Stischweizen Auswärtige und hieselbst Unbekannte kön Richter Keller in Hamm un. Doctor nen sich ar Einen der hiesigen Justizcom= fort in Nordkirchen in Vorschlag gebracht missarien, Criminalräthe Dyckhoff, Davi= werden. Sign. Werne im kaiserlich königlichen Patrimonial=Gerichte Stockum den 4. Meai Gie. 4. Da sich zu dem geringen ungefähr 20 Kthlr. betragenden Nachlaß des vor kurzer Zeit verstorbenen, beim Zeller Mühlenbeck, Kirchspiels Wolbeck, Gogerichts Telgte. als Knecht gewohnten Herman Henrich Tertilt keiner als die Ehefrau Schulzinn Tertilte, Kirchspiels Greven, als Intestaterbinn gemeldet, und cum beneficio legis et inventarii die Erbschaft zu übernehmen sich erklärt hat; so werden hierdurch alle diejenigen, welche mit der sich gemeldeten Erbinn Ehefrau Schulzinn Tert#lt ein gleiches oder näheres Erbrecht haben, vorgela## den, dieses Erbrecht innerhalb 6 Wochen, spätestens aber in dem auf den 26. Junii, Vormittags 11 Uhr, en des Gografen Schweling Behausung angesetzten Präclusiotermine anzumelden und gehörig zu begründen, unter dem Rechtsnachtheil, daß ansonst die obgedachte Schulzinn Tertilt für die rechtmäßige Erbinn angenommen, und der aus einem Werth von ungefähr 30 Rt. bestehende Nachlaß nach Abzug der Kosten den 25. Junit Vormittags 10 Uhr in der zu ihrer freien Disposttion verabfolgt weraemöhnlichen Gerichtsstelle angesetzten Prär, den soll; daß ferner der nach erfolgter Prälustotermine unter der Warnung anzumele ciusion sich ewa melteage räbers aber s 65 den; daß die Aussenbleibenden mit ihren nahe Erbe nicht nur alle etwaigen Realansprüchen auf die fünf Stü sich gemeldeten Erbinn anzuerkennen undz cke Landes präcludirt, und ihnen deshalb übernehrnen schuldig, sondern guch nich ein ewiges Stlischweitzen auferlge werden, urdePguH arsog der gehobenen Ruzungen dis und Fuisting, Richter Meyer, Broschard und Honthumb, Licentiaten Eiseule, Speller, Lohkampf, Brockhausen rc. wenden, und diesen mit gehöriger Vollmacht und Information versehen. Münster den 4. März 1809, Kaiserl. Königl, Stadtgericht. v. Bernuth. Wattendorff. z. Da der Colonus Ferdinand Erdmann zu Stockum von dem Herrn Grafen von Gouren daselbst fünf Stücke Ackerlandes, welche im stockumer Felde belegen sind, und gegen Osten an Wulbern Land, gegen Norden an der Kibitzheide, gegen Westen an den sogenannten Keufen, und gegen Süden an Niermans Ländereien granzen, käuflich erstanden, und darauf angetragen hat, daß zu seiner künftigen Sicherstellung wider alle ihm unbekannte Realprätendenten ein gerichtliches Aufgebot erlassen werden möchte: so werden, da diesem Gesuche per decretum de hodierno deferirt worden, aule diejenigen, welche an die oben beschriebenen fünf Stücke Landes Realansprüche haben oder zu daben vermeinen, hiermit aufgefordert, ihre desfalsigen Realrechte in Zeit von 6 Wochen, und längstens in dem auf den 25. Junii Vormittags 10 Uhr in der 0 zu fordern, sondern sich lediglich mit dem, was alsdann noch von der Erbschaft vorhanden seyn möchte, zu begnügen verbunden seyn wird. Sodann werden zugleich auch alle diejenigen, welche an den Nachlaß des Verstorbenen irgend einen Anspruch haben oder zu haben vermeinen, aufgefordert, diesen ihren Anspruch spätestens in dem obgedachten Termine anzumelden und gehörig zu berichtigen, unter der Warnung, daß die ausbleibenden Gläubiger aller ihrer etwaigen Vorrechte für verlustig erklärt, und mit ihren Forderungen nur an dasjenige, was nach Befriedigung der sich Gemeldeten von der Erbschaftsmasse noch übrig seyn möchte, verwiesen werden sollen. Münster den 29. April 1809. Gogericht Telgte. Schweling. Lohkampff. 5. Da Seiner Ercellenz der Herr Graf Emil Friderich zu Bentheim Tecklenburg Rheda zur Berichtigung des ciruli possessionis von folgenden zum ehemaligen Kloster Clarholz gehörigen Bauernerben, als 1) Hartwig, Kirchspiels Velleren, No. 3. car. der Hückelmar Bauerschaft, 2) Korte daselbst, No. 6 car. der Hesseler Bauerschaft, 3) Sumpman, Kirchspiels Beckum, No. 6 der ersten Unterberger Bauerschaft, 4) Wilde daselbst, No. 3 der Holier Bauerschaft, 5) Ruhman daselbst, No. 4 cat. der Holtmar Bauerschaft, 6) Hilmer daselbst, No. 5 cat. der Dünnighauser Bauerschaft, und 7) Suttholt daselbst, No. e1 cat. der Dalmer Bauerschaft auf die Erlassung eines öffentlichen Aufgebots angetragen; so werden hierdurch alle diejenigen, welche ein Eigenthumsrecht an obengedachte Colonate machen, aufgefordert, solches in termino den 5. Junii c., Morgens 10 Uhr, auf der hiesigen Gerichtsstube unter der Warnung anzuzeigen, und gehörig zu bescheinigen, daß ansonst selbige auf den Namen des hochbesagten Herrn Grafen ins Hypothekenbuch eingetragen werden sollen. Beckum den 4. März 1800. Das Gericht hieselbst. Detten. Mues. 5. Der Pächtiger auf dem im Kirchspiel Hiltrup gelegenen Hause Maser, Theodor Mühlenbeck, hat vermöge eines mit seiner Mutter der Wittwe Mühlenbeck den 19. November 18os gerichtlich gethätigten Ueberlaß= Vertrages sämmtliche damals vorhandene Schulden seiner Mutter zu zahlen übernommen, und nunmehr angezeigt, daß er ohne seinen gänzlichen Ruin nicht im Stande sey, diese auf einmal zu bezahlen. Der Pächtiger Theodor Mühlenbeck hat demnach bei dem unterzeichneten Gerichte Vergleichsvorschläge eingereicht, nach welchen er diejenigen Schulden, welche von seiner Mutter vor dem 19. Novemb. 1808 contrahirt sind, abtragen will. Dem Antrage desselben zufolge werden daher alle diejenigen, welche an die Wittwe Mühlenbeck vor dem 1o. November 1808 entstandene Forderungen haben, vorgeladen, sich in dem am 12. Junii c., Morgens 10 Uhr, in der Wohnung des Gografen Goesen präfigirten Termine einzufinden, um sich über die Annahme der vom Th. Mühlenbeck geschehenen Vergleichs= Vorschläge wegen ihrer Befriedigung zu erklären, und zwar unter dem Rechtsnachtheile, daß die Ausbleibenden für einwilligend in die Beschlüsse der sich Meldenden geachtet werden sollen. Münster den 19. April 1800. Gogericht Bakenfeld. Goesen. Bahlmann. (Hiebei eine Beilage) Beylage zum Münsterschen Intelligenz Blatt Nro. 21, 180%. Großherzogthum Berg. Emés Departement. Münster den rv. Mai 1800. Der Präfect ad interim 3) des Art. 29, No. 8. des Kaiserl. Allerhöchsten Dektets vom Id. Derember 1808, enthaltend die Verwaltungsordnung des Graßherzogihums, b) des unterm 10. v. M. ergangenen Ministerial: Reseripts, die Ausfertigung der Reisepässe betreffend, beschließt, wie folgt: g. k. Die Herren Maire's in den Städten und auf dem kande sind nur allein mit Ausstellung und Visirung der Reisepässe für das Innere des Großherzogthums beauftragt. S. 2. Die Reisepässe fürs Ausland werden einzig von dem Präfecten ertheilt, und eben so die ausländischen Reisepässe durch denselben visirt. S. 3. Der Präfect ertheilt die Pässe nur auf ein Zeugniß jenigen Municipalität, worin der Reisende wohnt, seiner vorhabenden Reise ertheilt werden möge. des Maire oder Beigeordneten derenthaltend, daß diesem ein Paß zu 9. 4. Bekannten Kaufleuten und sonst angesessenen Personen, welche große Reisen ins Ausland zu machen haben, werden die Pässe auf mehrere Monate, und selbst auf ein ganzes Jahr ertheilt, wenn sich sonst dabei kein Bedenken zeigt. H. 5. Süir ieden Paß öhne Unterschied werden 40 Stbr. edictmäßig, oder 16 Schillige münsterisch, oder 14 g Gr, 7 dt. berliner Courant, oder 1 Fl. 1 stbr. z di. holl. bezahlt. Davon behält die Paß ertheilende Behörde 2 pEt. und das übrige wird für die Formulare entrichtet. S. 6, Die Paßformulare werden von dem Stempel=Receveur des Bezirks in der Art bezogen, daß jede Municivalität davon einen Vorschuß von ro Stück deutschen Pässen erDieser wird als ein immerwährender Bestand betrachtet, und die Municipalität bekommt nur neue Exemplare nach Maßgabe, als sie an den Stempelempfänger für aus. gegebene Pässe die Gelder einliefert. Am Ende eines jeden Jahrs wird von den Municipalitäten des Arrondissements Män. ster bei der Präfectur, von den übrigen Munictpalitäten der Arrondissements Lingen und Coesfeld aber an die betreffende Unterpräfectur angezeigt, wie viel Pässe im Lauf des Jahrs den Stempelempfängern baar bezahlt worden. S. 8. Die Herren Maires und Beigeordneten werden mungen des vorstehenden Beschlusses genau achten. sich nach den sie betreffenden Bestim. C. Mylius. Münster den r9. Mai. 1809. Der Präfect ad interim des Emsdepartements beschließt wie folgt: r. Alle Beschlüsse und Verfügungen des Präfects, die zur öffentlichen Kenntniß gelangen sollen, werden in das Münstersche Intelligenzblatt eingerückt werden. 2. Die Unterpräfecten und Maires, so wie die Verwalter aller öffentlichen Anstalten sind verpflichtet, das Intelligenzblatt zu halten und in ihren Archiven zu bewahren. 2. Der Generalsecretair ist mit Vollziehung des gegenwärtigen Beschlusses beauftragt. Gegeben in der Präfectur des Emsdepartements wie oben. C. Mylius. II. Edictalladungen. 1. Nachdem nach vorhergegangener Lokaluntersuchung der Nätzlichkeit und Ausführbarkeit der in Antrag gebrachten Theilung der Stockumer und Hörser Mark im Kirchspiel Werne, die Theilung dieser gesagten Mark durch ein allergnädigstes Sammt=Rescript der hochlöblichen Landescollegien d. dato den 15. und 2esten März a. c. verordnet worben: Zur vollständigen Berichtigung dieses Theilungsgeschäfts aber eine Edictalla dung der sämmtlichen Realprätendenten an dieser Stockumer und Hörster Mark erforderlich in, zu welcher Mark a. folgende Districte: 1) das Ostfeld, 2) die Rüschkampsheide, 3) die Keufenheide, 4) die Kiwitzhei###, s) die Brennerheide, 6) der Hanxlid, 7) das Grafeld, 8) die Nottbeck, 9) die Kesthegge, 10) der Brock, 11) der Gohr, 12) der Eckey, 13) die Wesselerheide, b folgende Zuschläge gehireg: 14) der Zuschlag auf den Knüfen, 1s) die kleine Wiese und der neue Kamp an der Kiwitzheide, 16) die neue Wiese am Grafelde, 17) der grüne Kamp und der Schlebuschkamp an der Stockumer Mark, r8) der Zuschlag an der Wesseler Heiso werden alle diejenigen, welche Eigenthums= Hütungs= oder sonstige Rearrech= te an dieser Stockumer und Horster Mark und den vermeldeten Distrieren und Zuschlägen haben oder zu haben vermeinen, hierdurch aufgefordert, entweder in Person oder durch gesetzlich authorisirte Bevollmächtigte ihre Rechte binnen 3 Monaten, und spätestens in termino den loten August, des Vormittags um 9 Uhr, und allenfalls folgendem Tage, auf dem in der Gerichtsbarkeir Stockum belegenen Allodialhause Stockum unter der Warnung anzumelden und zu justificiren, daß diejenigen, welche diese Anmeldung versäumen möchten, mir ihren allenfalsigen Ansprüchen an die Stockumer und Horster Mark und den vermeldeten Districten und Zuschlagen präcludirt, ihnen deshalb ein ewiges Stillschweigen eingebunden, und mit der Theilung dieser Mark unter die sich meldenden Interessenten verfahren werden solle. Münster und Werne den ro. Mai 1800. Die Markentheilungs=Commission. Strobandt. Brolmann. 2. Der Steinhauermeister Luswig Falger, welcher die sub Nris. 5y& 00 der Liebefrauen Laischaft in hiesiger Stadt gelegenen beiden Häuser von dem hiesigen Schmiede= und Schlosstramte angekauft, hat bei uns, sowrhl zur Berichtigung des Besitztitels als zur Deckung gegen unbekannte Realprätendenten, auf Erlassung eines öffentlichen Aufgebots dieser Häuser angetragen. Da nun diesem Aatrage deferirt worden; so werden hierdurch alle und jede, welche irgend ein dingliches Recht au vorbezeichnete beide Häuser zu haben vermeinen, aufgefordert, solches binnen o Wochen, längstens aber in dem vor dem deputirten Stadtrichter Busch auf den 18. Julit Morgens 1r Uhr an hiesiger Gerichtsstelle anzeletzten Präclusiv=Terminen gebührend anzumelden und zu justifiziren, unter dem Rechtsnachtheile, daß die sich nicht meldenden mit allen ihren erwaigen Realansprüchen präcludirt, und ihnen deshalb durch ein förmliches Erkenntniß ein ewiges Stillschweigen auferlegt, und demnächst jene beiden Häuser auf den Namen des Ludwig Falger als Eigenthümers dem Hypothekenbuch eingetragen werden sollen, Diejenigen, denen es hier an persönlicher Bekanntschaft ermangelt, oder soust zu erscheinen verhindert sind, können sich an einen der hiesigen Advocaten, Herren Richter Meyer, Honthumb, Licentiaten Sprickman, Brockhausen, Fuisting, Speller, Schwreling, Nolbier, Westpyalen, Peteur u. s. w. wenden, und selben mit Vollmacht und Information versehen. Münster den 22. April r809. Kaiserl. Königl, Stadtgericht. v. Vernuth. Wattendorff*) z. Der Bediente Bernhard Tölle hat das sub No. car. 221 der Liebefrauen Laischaft in hiesiger Stadt gelegene Haus, vermöge eines vorläufig notarialiter gethätigten Kaufkontrakts, von dem Tagelöhner Andreas Bernhard Kessel für 350 Rthlr. Conventionsmünze angekauft, und zur Sicherheit gezen unbekannte Realprätendenten um ein öffentliches Aufgeboi derselben gebethen. Demnach werden hierdurch alle und jede, welche an dem eben bezeichneten Hause dingliche Ansprüche, sie mögen bestehen, worin sie wollen, zu haben vermeinen, aufgefordert, solche binneno Wochen, längstens aber in dem auf den 16, August, Vormittags 11 Uhr, vor dem deputirten Stadtrichter Overhage an der gewöhnlichen Gerichtsstelle präsigirten Termine anzumelden und zu justifiziren, unter dem Rechtsnachtheile, daß sie sonst mit ihren etwaigen Realunsprüchen präcludirt, und ihnen deshalb ein ewiges Stillschweigen auferlegt werden solle. Unkekannte oder persönlich zu erscheinen Verhinderte können sich an einen der hieselbst fungirenden Advokaten, z. B. Lizentiaten Speller, Holstein, Lohkampf, Bosensell, Eisenle, Brockhausen rc. wenden, und selbige mit Information und Vollmacht versehen. Münster den 18. Mai 1800. Kaiserl. Kön. Stadtgericht. v. Bernuth. Wattendorff. a. Die Wittwe des Gerhard Heurich Helling in Greffen hat zur Berichtigung des Besitztitels im Hypothekenbuch auf die Erlassung eines öffentlichen Aufgebots des im Dorfe Greffen am Kirchhofe sub No. cat. 68 belegenen sogenannten Kuhlenbergs Hauses angetragen. Es werden daher alle diejenigen, welche ein Eigenthumsrecht an das obenbezeichnete Haus machen, hierdurch öffentlich aufgefordert, solches in termino den 1. Julit a. c. Vormittags 10 Uhr an der Behausung des Gografen Guilleaume 38 zu Warendorf unter der Warnung anzuzeigen und zu bescheinigen, daß widrigenfalls das gedachte Wohnhaus auf den Namen der Extrahentin ins Hypothekenbuch eingetragen werden soll. Warendorf am Gogerichte Harkotten den 16. Mai 1800. Guillegume. Eickholt. III. Gerichtliche Bekanntmachungen. Subhastationspatente. 1. Dem Antrage des Criminalraths Dyckhoff, als Curator des Hofraths Schlebrügge, zufolge sollen mit Genehmigung eines hochlöbl. Pupillen=Collegii zwei im Kirchspiel Lamberti auf der Münster Geist unweit der Insel gelegene, dem Hofrath Schlebrügge zugehörige Stücke Landes, nebst einem in der Nähe gelegenen kleinern Stück Landes gerichtlich verkauft werden, und ist zu diesem Ende der Termin am 15. Junii Nachmittags 3 Uhr auf den zu verkaufenden Grundstücken angesetzt. Sämmtliche zum Ankauf dieser Grundstücke Lusitragende werden daher aufgefordert, in dem angesetzten Termine zu erscheinen und ihre Gebote abzugeben. Die vereideten Aestimatoren haben den Werth dieser Grundstücke zu 300 Rthlr. angegeben, und kann das abgehaltene Detaxations=Protocoll so wie die Vorwarben täglich in der Gerichtsregistratur eingesehen werden. Mänster den 20. April 1890. Gogericht Backenfeld. Goesen. Bahlmann. 2. Auf den Antrag des Criminalraths Dyckhoff, als Curator des Hofraths Schlebrügge, soll der dem Hofrath Schlebrügge zugehörige, vor Mauritzthor am Steinwege zwischen den Gärten der Räthin Hüffer und der Wittwe Goesen gelegene Garten, mit dem auf demselben erbaueten Hause, unter Genehmigung eines 85 hochlöblichen Pupillen=Collegii gerichtlich verkauft werden. Es werden daher alle besitz= und zahlungsfähige Kauflustige aufgefordert, in dem auf den zu verkaufenden Garten am 12. Junii Nachmittags 3 Uhr angesetzten Termine zu erscheinen, und ihre Gebote abzugeben, wobei denselben zugleich bekannt gemacht wird, daß der Garten von den beeideten Aestimatoren zu 240 Rthlr. und das auf demselben erbaute Haus zu 269 Rthlr. 23 gGr. gewürdigt sey, und kann das abgehaltene Oetaxationsprotocoll so wie die Vorwarden täglich in der Gerichtsregistratur eingesehen werden. Münster den 26. April 1809. Gogericht Backenfeld. Goesen. Bahlmann. z. Es wird hierdurch öffentlich bekannt gemacht, daß das in der Stadt Lingen sub No. 125 belegene Wohnhaus und ein vor dem Mühlenthore auf dem sogenannten Bogen gelegener Garten, welche der Wittwe Joh. Bernh. Beermann Anne Aleid, gebohrne Cornelischen, eigenthümlich zustehen, nebst allen derselben Pertinentien und Gerechtigkeiten tarirt, und nach Abzug der darauf haftenden Lasten auf resp. 600 Fl. und 230 Fl. holl. gewürdiget worden, wie solches aus der in der hiesigen Regierungs. Registratur befindlichen Taxe des mehrern zu ersehen ist. Da nun ein darauf gerichtlich ingrossirter Gläubiger um die Subhastation dieser beiden Grundstücke angehalten hat, diesem Gesuch auch Statt gegeben worden; so subhastiren wir und stellen zu jedermanns feilen Kauf obgedachte Beermannsche Grundstücke, nebst allen derselben Pertinentien, Recht und Gerechtigkeiten, wie solche in der erwähnten Taxe beschrieben sind, mit der taxirten Summe der 600 Fl. und 230 Fl. holl, und fordern mithin alle diejenigen, welche solche mit Zubehör zu erkaufen gesonnen, zugleich aber solche nach ihrer Qualität zu besitzen fähig, und annehmlich zu bezahlen veimögend sind, hiermit auf, sich in dem auf den 18. April, den 10. Mai, und den 20. Junii 1800 dor dem dazu des putirten Regierungsrath Warendorf anges setzten dreien Bietungeterminen, wovon der dritte und letzte piremtorisch ist, in der hiesigen Regierungs=Audienz zu melden, und ihr Gebor abzugeben; mit der Bedeutung, daß auf die nach Ablauf des letzten Licitationstermins etwa einkommenden Gebothe nicht weiter geachtet werden wird. Urkundlich des hierunter gedruckten größern Regierungs=Insiegels und derselben Unterschrift. Gegeben Lingen den 6. März 1800. Kaiserlich Königliche Tecklenburg= Lingensche Regierung. (I. S.) v. Goldbeck. Beckhaus. Offener Arrrest. r. Ueber die Erbschaftsmasse der verstorbenen Wittwe Bomholt, geborne Anna Elisabeth Stöhler, ist daro auf den Antrag des Beneficialerben Schneiders Nievelinck zu Lüdinghausen der erbschaftliche Liquidationsprozeß eröffnet, und wird dem zufolge allen denjenigen, welche etwas zu obbesagter Erbschaftsmasse Gehöriges, sey es an Gelde, oder sonstigen Sachen und Effecten oder Briefschaften hinter sich haben, hierdurch aufgegeben, davon dem unterzeichneten Stadtgerichte sofort getreulich Anzeige zu machen, und die Sachen oder Gelder rc., mit Vorbehalt ihrer etwaigen Rechte daran, in das gerichtliche Depositum einzuliefern, unter keinerley Vorwand aber an irgend einen andern, unter der Warnung, daß solches für nicht geschehen geachtet werden wird, Zahlung zu leisten, und wird diejenigen, welche zur Erbschaftsmasse gehörige Sachen und Gelder rc. verschweigen, der 366 Verlust ihrer daran habenden Rechte als Strafe treffen. Münster den z. Mai 180## Kaiserl. Kön. Stadtgericht. v. Bernuth. Wattendorff. IV. Vermischte Nachrichten. 1. Am 20. Mai l. J. und folgenden Tagen, Morgens 9 und Nachmitrags 3 Uhr, sollen im Hause des adlichen Herren= Clubs hieselbst eine Sammlung sehr guter Bücher in verschiedenen Fächern, ein vollständiger Aklas mit einigen Landcharten, ein sehr seltener Kupfersiich, allerlei Meubeln, als Tische, Stähle rc. durchs Meistgeboth aus freier Hand verkauft werden. Münster ain 6. Mai 1800. Aus besonderm Auftrag. Müller, Notar. 2. Bei J. Tuchman im Katthagen sind folgende Waaren zu beigesetztem Preise zu haben: Feine holländische Perlgerste 9 1/1 Pf. für 1 Rthlr, einländische dito I# Pf., feine Mittelgerste 18, geschelte Gerste 22, Hafergrütze 10, Buchweitzengrütze 18, beste gebackene Birn 12, Hirse 16, frankf. Llusen 15, Fadennudeln 7, Griesmehl 9 1/2, feines Spelzmehl 2o, bestes Weitzenmehl 22, 21e Sorte dito 24, bestes Buchweitzenmehl 23, ate Sorte dito 25, feines Gerstenmehl zo Pf. für 1 Rthlr., Seufmehl das Pf. 5 gGr., Roggenmehl das Scheffel 20 gGr., weisse Vizebohnen der Becher 4 ßl. das Scheffel 1 Ril. 16 gGr., gelbe und grüne Erbsen der Becher 2 g Gr. 4dt., das Scheffel 1 Rtl., Wachslichter das Pf. 17 U/ 9Gr., bester eingeschlagener Zichorie 16 1/2 Pf. für 1 Rtl., dito in Fässern zu 18 auch 20 Pf. für r Ril., Honig 7 pf. beste Talglichter 4 1/2, Tafelkäse 7, beste weisse Stärke i1 auch 12 Pf. für 1 Rtl. die 100 Pf. 8 Rtl., blaue sächsische Tassen das Dutzend 1 Rtl. 4 gGr., Kienruß die 100 Stück 12 gGr,, alter Rum die Maß 1 Rrl., sehr guter Franzbranntwein Ir gGr., Orangenbitter 8, dito bitterer 7. Anis 7 1/2, Kornbranntwein belegener 6 Essig die Maß 18 Pfenning. Auch ist bei ihm zu haben halb weiß gebleichtes als graues Leinen, welches zu Säcken dienlich ist, 1o auch rr Ellen für r RtI., so wie auch das bekannte Kaffesurrogat zu 8 Pf. für 1 Ril. Erempfiehlt sich bestens. 3. Da verschiedene meine Jaxdbunde besprochen und halb und halb gekauft haben, so werden solche gebethen, selbe binnen 8 Tagen abholen zu lassen, weil ich nach der Zeit selbe gleich an andere verkaufen werde. „ M. v. Ascheherg. 4. Zwischen dem Domplatz und Markt sind drei Zimmer zu vermiethen. Das Int. Compt. saze wo. 5. Es werden einige tausend Stück Comt, aibht Nachr.. 906 Jut. Beim Weinhändler Jos. Mehring am Dom ist frisches Selterwasser angekommen. ..7. Am„Dienstag den 6. Junii werden in der v. Galenschen Davert nicht weit vom Witteler Baume, Kirchspiels Amelébüren, 25 Haufen theils hartes theils weiches Holz meistbiethend verkauft, wobei die zum Ankauf Lust und Mittel Habende des Morgens 9 Uhr sich einfinden können. * S a Sandfort, v. Gal. Rmstr. 8. Der Rekrutirungs=Copitain v. Hogenhausen wohnt auf dem Roggenmarkt bei Ferrn Marten No. 332; die an ihn gerichteten Briefe werden nur postfrei angenommen, Die Civil= und Militair=Autoritäten werden ersucht, ihn selbige unter Coupert des Herrn Präferen zurommen zu Münster den 24. Mai 1800. 9. Die Erben der unlängst verstorbenen Demoiselle Schlechtendal in Lingen, nemlich der Herr Justizkommissarius Schlechtsuhgl. und„gen Oemoiselle Schwester zu Duisburg, sind gesonnen, das zu dem Nach 387 laß ihrer Erblasserin gehörige in der Stadt Lingen gelegene Haus und Garten freiwillig meistbiethend zu verkaufen. Diejenigen, welche diese Grundstücke zu benutzen Lust haben, können sich entweder bei dem Unterschriebenen oder bei dem Herrn Justizkommissarius Schlechtendal unmittelbar melden. Lingen den 16. Mai 1800. 1o, 550 Rthlr. Conventionsgeld sind gegen sichere Hypothek gegen gehörige Zinsen auszuleihen. Das Ink. C. sagt wo. 1I. Bei Friedr. Theissing sind sämmtliche Charten, die auf den gegenwärtigen Kriegsschauplatz Bezug haben, in den neuesten Auflagen das Stück zu 10 gGr, zu 12 Vorigen Sonntag als am 21. dieses ist des Abends 7 Uhr vor Mauritzthor ein weisser halbgeschorener Spitzhund verlohren worden; derjenige, dem er zugelaufen oder Nachricht davon geben kann, wird gebeihen, den Eigenthümer beim Int. Compt. zu erfragen, wo er ein gutes Trinkgeld zu ge13. Gegen nächsten Herbssend ist eingur eingerichtetes Haus, nebst Stallung, Remise, Waschküche und geräumigen Garten zu vermiethen. Das Int. C. giot Nachr. #4. Bei Engelbert Nahm auf dem Spiekerhof ist eine Quantität Blech um billigen 15 Am 9. Jui l. 3., Natzestagz Uhr, sollen die hieselbst am Neubrückerthore sub Nris. 218, 210 und 220 belegenen Behausungen in der Wohnung des unterzeichneten Notarii öffentlich durchs Meisigeborh verkauft werken. Münster den 25. Mai 1809. Aus besorderm Auftrag. Mäller Notar, wehnhaft in der Pferdegasse. 16. Der im Intelligenzblatt bekannt gemachte Termin zur Verdtngung der Reparaturen an den hiesigen Schloßgebäuden wird wegen eingetretenen Umständen einstweilen ausgesetzt, und wird derselbe noch näher bestimmt werden.“ A. Geisberg, Rmstr. 17. Denjenigen Herren, so von mir Maleville Commenrar über das Gesetzbuch Na poleons erhalten haben dient zur Nachricht daß der gte Theil, womit das Werk complet sofort bei mir zu haben ist *. J. Ceppenrath. Aufsorderungen. 1. Meinen Sohn Christoph Henr. Moddick, aus dem Kirchspiel Drensteinsurt gebürtig, der bei der Losung pro 1808 zur Active bestimmt und nach Düsseldorf trausportirt wurde, sich nachher aber wider mein Wissen und Willen entfernt hat, fordere ich hiermit öffentlich und driagend auf, sich schleunigst bei seiner Behörde wieder zu stellen, um dem Conscriptionsgesetze Gehorsam zu leisten, und seine bekümmerte Mutter nicht ferner seinetwegen in Verlegenheit zu lassen. Zugleich ersuche ich jeden, der mir Nachricht von dem Aufenthalte meines Sohnes geben kann, mir diese gegen Erstattung aller Kosten und Bemühungen gütigst zu ertheilen. Drensteinfurt den 20. April 1800. Wittwe A. C. Moddick. 2. Da mein Sohn Stephan Rademaker kürzlich von Düsseldorf desertirt seyn soll, so fordere ich denselben hierdurch ernstlich auf, sich sofort bei seiner Behörde wieder zu stellen, um dem Gesetze Genüge zu leie sten, und dadurch die Maßregeln abzuändern, die ich seinetwegen schon empfinde, und die von der Obrigkeit gegen mich eingeleitet worden. Zugleich ersuche ich jeden, der mir von dem Aufenthalte meines Sohnes Nachricht geben kann, steundschaftlich und dringend, mir davon doch sogleich Anzeige zu machen. Borck den 22. Mai 1800. Rademaker. 388 Geburts=Anzeige r. Allen Verwandten und theilnehmenden Freunden mache ich die in voriger Nacht glücklich erfolgte Entbindung meiner Frau von einem gesunden Mädchen hierdurch bekannt. Münster den 14. Mai 1800. v. Bösclager=Eggermühlen. 2. Heut wurde meine Frau von einem gesunden Sohne glücklich entbunden, welches ich meinen Freunden und Verwandten gehorsamst anzeige. Brockhagen den 20. Mai 1809. Der Maire Kriege. Heiratbs=Anzeigen. r. Unterzeichnete haben die Ehre, ihren hochwerthen Handlungsfreunden und Anverwandten die heut unter ihnen hier vollzogene Eheverbindung schuldigst anzuzeigen, mit dem höflichsten Ersuchen, dero bisher geschenkte Freundschaft und Liebe ihnen fernerhin günstigst angedeihen zu lassen. Warendorf den 16. Mai 18c0. B. C. Böcker, Kaufmann in Warendorfer Linnen. Anna Elisabeth Probst. 2. Unsern Verwandten und Freunden machen wir unsere am 20. d. M. vollzogene eheliche Verbindung ergebenst bekannt, und empfehlen uns der Fortdauer ihrer Freundschaft. Münster am 23. Mai 18c0. H. W. Rieve, Doctor. H. Rieve, geb. Bruchausen. Sterbefälle. r. Dem Allerhöchsten gesiel es nach seinem unerforschlichen Rathschlusse, den hochwürdigen Herrn Franz Joseph Cochois, deutschen Ordens Priester, und Pfarrer der Kirche ad Stum. Georgium, aus diesem Zeitlichen zu sich in eine bessere Ewigkeit aufzunehmen. Er starb am 4. dieses Vormittags 11 Uhr an einer Entkräftung, mit den heiligen Sterbesakramenten zeitig versehen und in den Willen Gottes völlig ergeben, im 8r. Jahre seines Lebens und 5z. seines Priesterthums. Er war ein eifriger Prießter und ehrwürdiger Greis. Die Seele des Verstorbenen wird dem Gebethe und christlichen Andenken aller, die ihn kannten, empfohlen. Aulicke. 2. Am Montag den 8. dieses, Abends um 1r Uhr, starb zu Sassenberg im 70. Jahre ihres Alters die wohlgeborne Frau Amtsrentemeisterin Catharina Wickede, geborne Billerdeck, nach einer r#tägigen Krankheit und hinzugetretenem Schlagfluß, frühzeitig mit allen Sterbesakramenten versehen. Ich mache dieses allen Verwandten und Freunden hierdurch bekannt, und empfehle die abgeschiedene Seele ihrem andächtigen Gebeth. Sassenberg den 14. Mai 1800. Der Freund. z. Dem Allmächtigen hat es gefallen, den hochw. Herrn Caspar Herm. Gröning, Cauonicus in Freckenhorst, am I. Mai im 64. Jahre seines Alters zu sich in ein bese seres Leben abzuberufen. Wir machen diesen Todesfall sämmtlichen Verwandten und Freunden hiermit bekannt, und empfehlen die Seele dem christlichen Gebethe. Freckenhorst den 8. Mai 1809. Die Executoren. 4. Den 15. dieses Monats, Nachmittags um halb 1 Uhr, starb mein geliebter Ehemann Anton Männinghausen an der Wassersucht. Diesen für mich und meine zwei kleine Kinder leider allzufrühen Todesfall mache ich meinen Verwandten und Freunden hiermit bekannt, und empfehle die Seele des Verstorbenen ihrem andächtigen Gebethe, Vernardina Münninghausen, geb. Budde.